Appo: Cherberland/zaliwar
bon, lol, je ne viens pas postuler pour votre alliance... je viens pour vous proposer quelques chose... je viens pour vous proposer mon alliance dans une fusion. Si vous êtes roleplay alors que mon alliance est 100% rôlistes, il me semble qu'une fusion serait facilement prévoyable... Bon, vous allez me dire: " -On ne veut pas détruire notre alliance qu'on a fonder à même le sol et qu'on a vu évoluer, grandir avec le temps." je vous concède ce point, mais je vous propose des postes capital pour le bon fonctionnement de l'alliance, je suis actuellement à la recherche de rôlistes expérimenté sur lesquelles je pourrais déposer une partie de lourd fardeau que je porte sur mes épaules depuis le début du round.
membres recherchés:
Audacieux, qui veux prendre ça place dans l'alliance,
posséde quelques temps libres pour conseillers millitairement,
posséde un calculateur de puissance ou du temps libre pour calculer les recensement hebdomadaire et mensuel. Doit posséder msn, et doit avoir une rencontre msn avec moi-même pour être officiellement nommé maître des armes de Crisaïde
personne calme qui prend bien le temps de réfléchir avant de parler, de nature plutôt défensive qu'offensive. Doit avoir un excellant potentiel Roleplay. doit aussi avoir une rencontre sur msn avec Zaliwar pour pouvoir être nommé officiellement l'âme pacifique (en recherche actuellement d'un nom plus roleplay)
bon, vous voyez un peu le genre...
pour mon roleplay personnelle pour que vous puissiez évaluer mon roleplay, en voici un:
Je traversa une vallée,
Jusqu’à me rendre dans un pré,
L’herbe dansait au rythme du doux Zéphyr,
Les fleurs brillaient vers le soleil jusqu’à en frémir,
Une nappe de vie s’écoulait dans ce pré,
Irriguant les bosquets et les vertes graminées,
Un petit être bondissant reniflait les arômes alléchants,
Avant d’avoir peur d’une légère brise d’un souffle humain,
Un homme sommeillait près les orchidées,
Le soleil torride l’avait fait se reposer dans le ruisseau,
Un sourire éternel ornait son doux visage crispé,
Une main déposée sur sa panse, l’autre se sentait de trop,
Les yeux clos,
Relaxant sur son dos,
Son âme se réveillant,
Son corps se reposant,
Il fît un sursaut,
Faisant éclabousser son eau,
Avant de laisser au souffle de la terre,
Relayer sa brise arbitraire,
Son unique main s’allongea à ses côtés,
Désertant la cavité pionnière du ruisseau de vie.
Son âme provenue à passer dans la tranchée
S’envola vers les champs illuminés…
C’était la mort lente d’un bataillon ayant reçu une épée, une flèche, peu importe. Celui d’un guerrier qui reçoit un coup fatal, mais qui persiste à vivre.
ou bien un style différent:
La douce brise scintillante, des noires nuits, voilait votre vision. Au loin, un homme, une femme ou peut-être même une bête semblait marcher vers vous. L’image arrosée par les douceurs du crépuscule ne s’éclaircissait pas bien rapidement. En parallèle, plus la forme nébuleuse grandissait, plus le ciel devenait capricieux. Votre habit imbibé par les pleurs des cieux, la froidure commençait à vous ronger les os, mais nul ne sait pourquoi, quelques chose vous retenait en place. Votre curiosité, si puissante soit-elle, vous amena à attendre de voir complètement l’allure de cet homme, oui c’était un homme, car depuis le temps vous aviez découvert que l’ombre piteuse qui s’avançait vers vous étais un homme. Un regard manifesta soudain sa place dans le visage de l’inconnu. Un regard rempli de véhémence, dans ces pupilles reluisait la fraternité, la justice, la rage de vivre, mais aussi la vieillesse. Alors que la colère des dieux s’était rajouté aux pleurs du crépuscule, l’homme parvenu à une distance raisonnable pour se faire entendre s’arrêta. Des sons graves, mais léger valsèrent sur les vents humides du sombre soir jusqu’à vos oreilles :
Bonsoir seigneur,
Je ne connais point votre stature
Et j’ai peine à voir votre allure,
Enfin, j’espère que vous êtes de bon cœur
Et que vous accepterez de m'écouter.
Le ciel noir de ce soir rempli d’humidité
Est si bon pour moi.
Il y a quelques semaines voir quelques mois,
La cité de mon père, la séduisante Crisaïde,
Était prise au piège par de grand barbare avide.
Mon père, absent pour venger un de ces confrères
Ou mort durant l’exécution des dernières volontés d’un de ces hommes,
Avait au par avant décelé un repaire
Pour me protéger des violences de ce monde comme
Le carnage qui fut lourdement encaissé par ma cité chère.
Ne pas mourir et être l’un ou peut-être même le seul survivant d’une boucherie,
C’est quelques chose, mais c’est aussi dure à endurer comme calvaire.
Aujourd’hui, j’erre la terre de Thessalie
Dans l’espoir de fonder un regroupement de mercenaire
Qui par leur volonté de fer,
M’aideront à reconstruire la cité de Crisaïde.
À travers ces grands vents humides,
Je sens venir votre question :
Pourquoi rebâtir une cité avec une troupe de mercenaire?
Hé bien… Comme mon père,
Je prône la justice d’où mon nom : Zaliwar le Justicier.
La dernière volonté de Fellon* n’a peut-être pas été réalisée,
Et mon père y a peut-être laissé son âme au combat.
Avec ma troupe, j’irais accomplir la dernière volonté d’un grand guerrier sans fils
Et venger mon père pour ainsi suivre ces pas,
Ceux de l’égalité pour tous... la justice!
merci de répondre...